La régularisation des charges locatives 2024 est parvenue aux locataires des bailleurs sociaux.
Certaines familles constatent des montants élevés et vont avoir à payer un supplément avec le ou les prochain-s loyer-s.
N’hésitez pas à prendre contact avec la CSF 87 au 05 55 37 52 26 pour faire le point et donner votre avis !

Si vous habitez le quartier du Val de l’Aurence Nord, venez découvrir les activités proposées par la CSF aux enfants et aux familles 🌞

Le 19 juin 2025, lors de l’Assemblée générale de l’UDAF 87, Gilles Berton, bénévole CSF, a eu la surprise, avec d’autres, de recevoir la médaille du mérite familial.
Félicitations 🥳

Les Co-présidents et le Conseil Syndical vous invitent à l’assemblée Générale 2024 de L’union Départementale de la Confédération Syndicale des Familles 87 qui se tiendra le Jeudi 27 mars 2025, à 18h, à la Salle Detaille, 8 rue Edouard Detaille à la Bastide (Limoges).

 

8 mars 2025 : Journée internationale de lutte pour les droits des femmes !

La journée du 8 mars célèbre les luttes pour les droits des femmes et pour l’égalité entre hommes et femmes.
Aujourd’hui, il est plus qu’urgent de lutter pour la préservation des droits des femmes et la conquête de nouveaux. La
CSF déplore un retour en force des discours misogynes et une progression des mouvements masculinistes et d’extrême
droite, réactionnaire et antiféministe, qui remettent en question ces droits.

Au niveau international, on peut citer l’oppression des femmes et des filles en Iran et Afghanistan, la crainte d’une
remise en cause des droits sexuels et reproductifs comme la restriction de l’accès à l’avortement par l’administration
Trump, la montée des idées et discours nauséabondes « fémonationalistes », une stratégie qui consiste à
instrumentaliser les violences faites aux femmes pour justifier des politiques migratoires racistes…
En France, l’affaire Pélicot, largement médiatisée, a révélé plusieurs aspects de notre société : les coupables sont des
« monsieur tout le monde », des hommes de catégories socio-professionnelles diverses avec des âges et origines
différentes, la parole de la victime est remise en cause systématiquement. Ainsi, la culture du viol est omniprésente
et nécessite une prise de conscience de toute la société ! Cette affaire a également montré l’importance de donner la
voix en brisant les tabous car la honte doit changer de camp. Les résultats de l’enquête nationale 2024/2025, menée
par La CSF font état de constats préoccupants : 72% ont vécu des violences psychologiques, 56% des violences
physiques et 67% des violences sexuelles, surtout dans les cadres familiaux ou conjugaux, et seulement 19% des
femmes ont porté plainte

La Confédération Syndicale des Familles, en tant que force de progrès, demande l’égalité concrète entre hommes et
femmes, et revendique :

  • L’éducation des enfants au consentement et à l’éducation sexuelle,
  • L’obligation de la formation des gendarmes et policiers sur ces questions,
  • La prise en compte systématique des plaintes,
  • L’écoute et la prise en compte de la parole des femmes,
  • L’amélioration significative de la prise en charge des victimes de violences,
  • L’augmentation des places d’hébergement d’urgence et le renforcement de l’accompagnement des femmes
    victimes de violences,
  • Des moyens financiers supplémentaires pour les associations accompagnant les femmes victimes de violences,
    L’inscription de la notion de « consentement » dans la définition pénale,
  • La prise en compte la totalité des féminicides et pas seulement les féminicides conjugaux,
  • La fin de la culture du viol.

La CSF poursuivra ces travaux dans le but de faire évoluer les droits des femmes et de faire vivre le féminisme.
Ensemble, participons au changement d’une nouvelle société juste, égalitaire, émancipatrice et loin du patriarcat !

Contact Presse :
BARRE Charlotte
Secrétaire confédérale
cbarre@la-csf.org – 06.84.15.54.89

CP 8 mars 2025

La CSF signe la pétition contre l’aspartam

L’aspartame est un additif alimentaire controversé, largement utilisé dans les produits allégés et sans sucre. En juillet 2023, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) l’a classé comme possiblement cancérigène, en plus des risques de maladies cardiovasculaires et de diabète de type 2.
Malgré ces alertes, aucune interdiction n’a été mise en place au niveau français ou européen.

Face à cette inaction, Foodwatch, la Ligue contre le cancer et Yuka ont lancé une pétition exigeant l’interdiction de l’aspartame dans nos aliments et boissons. La CSF a décidé de soutenir cette démarche et a signé cette pétition.

Nous vous invitons à la signer à votre tour et à la relayer autour de vous pour amplifier la mobilisation.
📢 Signez la pétition ici :
https://www.foodwatch.org/fr/sinformer/nos-campagnes/alimentation-et-sante/additifs/petition-non-a-l-aspartame-dans-nos-aliments-et-nos-boissons-e951-yuka-ligue-cancer

Ensemble, faisons pression pour que les autorités prennent enfin des mesures de protection des consommateurs.

Antoine Tirot et Charlotte Barre
Secrétaires Confédéraux des secteurs Consommation et Santé de La CSF.

La CSF se félicite du retour en arrière du gouvernement sur le
programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et
sexuelle (Evars)

La CSF, acteur engagé dans la défense des droits des enfants et des jeunes, réaffirme son
engagement en faveur d’une éducation fondée sur le respect des droits de l’enfant, l’écoute, la
bienveillance et la liberté de choix.

Le programme EVARS prévu initialement pour la rentrée 2024, prévoit trois séances annuelles dans
l’ensemble des écoles, collèges et lycées, publics comme privés. Il doit désormais être publié au
Journal officiel avant son déploiement.

La CSF se félicite du retour en arrière du gouvernement. En cédant aux doctrines d’associations
réactionnaires le risque aurait été grand de voir cet enseignement réduit à une transmission séculaire
de la place de chacun en niant la liberté de choix de son identité de genre.

La CSF réaffirme l’importance de contenus pédagogiques honnêtes et clairs qui ne cherche pas à
maquiller la vérité ou manipuler les enfants.

Tout en reconnaissant le droit à chaque famille d’avoir ses propres opinions sur ces sujets,
l’enseignement doit être dispensé à tous les élèves sans exception, leur permettant d’avoir le même
niveau d’information.

L’éducation sexuelle doit donc intégrer la dimension affective dans les rapports aux autres et à soimême.
Cette mission d’intérêt général peut s’ouvrir à la société civile pour répondre à l’ensemble de la
problématique.

La CSF déplore cependant l’absence de concertation préalable avec les associations de parents
d’élèves. Aussi, elle soutient les 150 amendements déposés par l’ensemble des syndicats de
l’Éducation nationale, qui jugent notamment de nombreuses notions « trop édulcorées ».

COMMUNIQUE DE PRESSE. La CSF se felicite du retour en arriere sur le nouveau programme – sexualité et la vie affective

Toute l’équipe de lacsf87, vous souhaites une excellente année 2025